Nuit. Sommeilleuse, humide, obscure, noire, ombreuse, fraîche, mère du repos, brune, coite, aveugle, moite, paresseuse, claire-brunette, messagère d’amours, ténébreuse, profonde, tranquille, amoureuse, muette, fille de la Terre, oblivieuse, lente, triste, ministre des amoureux, bruineuse, étoilée, secrète, épouvantable, sombre, paisible, voilée, moiteuse, couronnée d’étoiles, trouble, oublieuse, lascive, caligineuse, larronnesse, pâle, rosineuse, couverte, endormie, tarde ou tardive, heureuse, fidèle, ouvrière, importune, mère du sommeil, peinturée.
La Nuit est l’ombre de la terre, ou l’ombre au jour contraire, et privation du soleil. Les poètes feignent qu’elle est fille de la Terre et des Parques.
Maurice de LA PORTE, Les
Épithètes, 1571,
f° 179r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_364]
(texte modernisé).
[Fille /-s de la nuit / Nuit. Alecton, Atropos, Furies, Parques.]
[Fils de la nuit. Somme ou sommeil.]
[Nocturne /-s. Astre, chandelle, étoile, flambeau, fuite, lampe, silence, songe, ténèbres, vêpre ou vêprée.]
[Nuital /-ale /-aux /-ales. Alarme, ardents, astre, brandon, chandelle, danse, démon, diligence, éblouissement, effroi, embuscade ou embûche, Érinne, étoile, flambe ou flamme, fugitif ou fuitif, Furies, fusil, guet, hibou, imagination, labeur, lampe, larron, loup, lumière, Lune, Muses, obscurité, ombres, Phare, Phœbe, rapt ou ravissement, rosée, silence, somme ou sommeil, surprise, ténèbres, torche, trahison, vigilance.]
[Passe-nuits. Dés.]
[Voir aussi minuit.]
Nuict ou Nuit. Sommeilleuse, humide, obscure, noire, ombreuse, fraiche, mere du repos, brune, coie, aueugle, moite, paresseuse, claire-brunette, messagere d’amours, tenebreuse, profonde, tranquille, amoureuse, muette, fille de la Terre, obliuieuse, lente, triste, ministre des amoureus, bruineuse, estoilee, secrette, espouuantable, sombre, paisible, voilee, moiteuse, couronnee d’estoiles, trouble, oublieuse, lasciue, caligineuse, larronnesse, palle, rosineuse, couuerte, endormie, tarde ou tardiue, heureuse, fidele, ouuriere, importune, mere du sommeil, peinturee.
La Nuit est l’ombre de la terre, ou l’ombre au iour contraire, & priuation du soleil. Les poetes feignent qu’elle est fille de la Terre & des Parques.
Maurice de LA PORTE, Les
Epithetes, 1571,
f° 179r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_364]
(texte original).
[Fille /-s de la nuit / Nuit. Alecton, Atropos, Furies, Parques.]
[Fils de la nuit. Somme ou sommeil.]
[Nocturne /-s. Astre, chandelle, estoille, flambeau, fuite, lampe, silence, songe, tenebres, vespre ou vespree.]
[Nuital [+nuittal +nuictal] /-ale /-aus /-ales. Alarme, ardens, astre, brandon, chandelle, danse, démon, diligence, effroi, embuscade ou embusche, Erinne, esblouissement, estoille, flambe ou flamme, fugitif ou fuitif, Furies, fusil, guet, hibou, imagination, labeur, lampe, larron, loup, lumiere, Lune, Muses, obscurité, ombres, Phare, Phœbe, rapt ou rauissement, rosee, silence, somme ou sommeil, surprise, tenebres, torche, trahison, vigilance.]
[Passe-nuits. Dets.]
[Voir aussi minuit.]