Amour
Tyran
m’a mis comme au
soleil
la neige,
Comme un blanc
à la butte,
et comme au feu
la cire,
Comme au vent
la nuée,
et en mon
gref
martyre
Je quiers merci
à Flore, et point ne me soulage.
Elle comme un
soleil
fait hâler mon
visage,
Et crevasse mon corps
et mes humeurs
attire :
Comme un archer
adroit
dans mon cœur
elle tire,
Et chasse comme un vent,
ma force
et mon courage.
Sa
face
est le soleil,
mes pensers
sont les dards,
Le feu
c’est mon désir,
c’est mon souci
épars,
Qui de nuit,
qui de jour
fait qu’en Flore je vive.
Et le
vent
c’est sa voix,
c’est son
doucereux
chant,
Qui charmant mon oreille
et mon cœur
alléchant,
Exile de mon corps
mon âme
fugitive.
Amour
Tyran
m’a mis comme au
soleil
la neige,
Comme un
blanc
à la butte,
et comme au feu
la cire,
Comme au
vent
la nuée,
et en mon
gref
martyre
Je quiers
merci
à Flore, et
point ne me soulage.
Elle
comme un
soleil
fait hâler mon
visage,
Et crevasse mon
corps
et mes humeurs
attire :
Comme un
archer
adroit
dans mon cœur
elle tire,
Et chasse comme un
vent,
ma force
et mon courage.
Sa
face
est le soleil,
mes pensers
sont les dards,
Le
feu
c’est mon désir,
c’est mon souci
épars,
Qui de
nuit,
qui de jour
fait qu’en Flore
je vive.
Et
le vent
c’est sa voix,
c’est son
doucereux
chant,
Qui charmant mon
oreille
et mon cœur
alléchant,
Exile de mon
corps
mon âme
fugitive.
En ligne le
25/06/19.
Dernière révision le 01/02/24.