JE
veux mourir pour tes beautés,
Maîtresse,
Pour ce
bel
œil,
qui me prit à son
haim,
Pour ce
doux
ris,
pour ce baiser
tout plein
D’ambre,
et de musc,
baiser
d’une Déesse.
Je veux mourir pour cette
blonde
tresse,
Pour l’embonpoint de ce trop
chaste
sein,
Pour la rigueur
de cette
douce
main,
Qui tout d’un coup
me guérit et me blesse.
Je veux mourir pour le brun de ce
teint,
Pour ce maintien,
qui, divin, me contraint
De trop aimer : mais par sus toute chose,
Je veux mourir aux
amoureux
combats,
Soufflant l’amour,
qu’au cœur
je porte enclose,
Toute une nuit,
au milieu de tes bras.
JE
veux mourir pour tes beautés,
Maîtresse,
Pour ce
bel
œil,
qui me prit à son
haim,
Pour ce
doux
ris,
pour ce baiser
tout plein
D’ambre,
et de musc,
baiser
d’une Déesse.
Je veux mourir pour cette
blonde
tresse,
Pour l’embonpoint de ce trop
chaste
sein,
Pour la rigueur
de cette
douce
main,
Qui tout d’un coup
me guérit et me blesse.
Je veux mourir pour le brun de ce
teint,
Pour ce maintien,
qui, divin, me contraint
De trop aimer : mais par sus toute chose,
Je veux mourir aux
amoureux
combats,
Soufflant l’amour,
qu’au cœur
je porte enclose,
Toute une nuit,
au milieu de tes bras.
En ligne le
21/09/13.
Dernière révision le 31/08/23.