Avoir d’un
bref
repos
une
éternelle
peine,
D’un peu de sûreté une
mer
de
soupçon,
D’un débat
assuré
feinte
dilection,
L’âme
vide de foi
et d’impiété
pleine.
Sous un
ris
blandissant
masquer
l’ardente
haine,
Couver sous la douceur
une présomption,
Déguiser son
tourment
par une fiction,
Et sous un
faux
objet une douleur
certaine.
Au
feu
d’un désespoir
rallumer
son désir,
Voir en la fraude
close
un
ouvert
déplaisir,
Rire une heure
le jour
pleurer toute une année.
Et d’un
antiqu’penser
faire un conte
nouveau :
C’est pour vous mon
Soleil,
ce que la destinée
Engrave nuit
et jour
dans mon
triste
cerveau.
Avoir d’un
bref
repos
une
éternelle
peine,
D’un peu de sûreté une
mer
de
soupçon,
D’un débat
assuré
feinte
dilection,
L’âme
vide de foi
et d’impiété
pleine.
Sous un
ris
blandissant
masquer l’ardente
haine,
Couver sous la douceur
une présomption,
Déguiser son
tourment
par une fiction,
Et sous un
faux
objet une douleur
certaine.
Au
feu
d’un désespoir
rallumer son désir,
Voir en la fraude
close
un
ouvert
déplaisir,
Rire une heure
le jour
pleurer toute une année.
Et d’un
antiqu’penser
faire un conte
nouveau :
C’est pour vous mon
Soleil,
ce que la destinée
Engrave nuit
et jour
dans mon
triste
cerveau.
En ligne le
21/05/08.
Dernière révision le 05/12/20.