Toujours la
nuit
obscurément
profonde
N’étreint le
jour
de son voile
oublieux :
Toujours en mer
l’orage
impérieux
Contre la rive
écumant
ne redonde.
Toujours le
vent
deçà, delà ne gronde
Par les forêts,
toujours l’ire
des Cieux
Ne fait trembler, d’un
souffle
injurieux,
En toutes parts la fabrique du
monde.
L’orage
attire après soi le
beau
temps :
Le froid
Hiver
est suivi du Printemps,
Et l’Été
suit la
belle
Primevère :
L’Automne
vient sur les pas
de l’Été,
L’Hiver
retourne, ainsi (belle) j’espère
Que mon tourment
se verra limité.
Toujours la
nuit
obscurément
profonde
N’étreint
le jour
de son voile
oublieux :
Toujours en mer
l’orage
impérieux
Contre la rive
écumant
ne redonde.
Toujours le
vent
deçà,
delà ne gronde
Par les forêts,
toujours l’ire
des Cieux
Ne fait trembler,
d’un
souffle
injurieux,
En toutes parts la fabrique du
monde.
L’orage
attire après soi le
beau
temps :
Le froid
Hiver
est suivi du Printemps,
Et l’Été
suit la
belle
Primevère :
L’Automne
vient sur les pas
de l’Été,
L’Hiver
retourne, ainsi
(belle)
j’espère
Que mon tourment
se verra limité.
En ligne le
30/09/08.
Dernière révision le 04/05/24.