[…]
Que bien vrai le
chantre
sacré,
Fils
de la
belle
Calliope,
A dit, pinçant son
Luth
sucré
Sur la
Thracienne
Rhodope,
Que rien en ce
globeux
séjour
N’est si franc de la
main
d’Atrope
Qu’il ne périsse quelque
jour.
Le Pôle
Austral
tombera
Dessus l’Afrique
rôtie :
Et l’Arctique accablera
Les campagnes
de Scythie :
Le
journal
Soleil
qui luit,
Teindra sa torche
amortie
Aux ténèbres
de la nuit.
Ainsi rechanta quelquefois
Sur la croupe
Sithonienne
Orphé,
qui oreilla les bois
Au son
de sa lyre
ancienne,
Ayant perdu à son
retour,
Dans la cave
Plutonienne
Eurydice
son
chaste
amour.
[…]
[…]
Que
bien vrai le chantre
sacré,
Fils de la
belle
Calliope,
A dit, pinçant
son Luth
sucré
Sur la Thracienne
Rhodope,
Que rien en ce
globeux
séjour
N’est si franc de
la main
d’Atrope
Qu’il ne
périsse quelque
jour.
Le
Pôle
Austral tombera
Dessus
l’Afrique
rôtie :
Et
l’Arctique
accablera
Les
campagnes
de Scythie :
Le
journal
Soleil
qui luit,
Teindra sa
torche
amortie
Aux
ténèbres
de la nuit.
Ainsi
rechanta quelquefois
Sur la
croupe
Sithonienne
Orphé,
qui oreilla les bois
Au
son
de sa lyre
ancienne,
Ayant perdu à
son retour,
Dans la
cave
Plutonienne
Eurydice son
chaste
amour.
[…]
En ligne le
02/06/11.
Dernière révision le 07/03/23.