Ores les
airs
et la
terre
et les Cieux
Penchent leur front
au giron
du Silence,
Ores le Somme
ès flots
de l’oubliance
Trempe le soin
des hommes
et des Dieux.
Ores la
Nuit
de son char
radieux
Par l’Horizon les deux
brides
élance,
Où mainte flamme,
en diverse cadence,
Brille en tournant d’un
pied
laborieux.
En
terre,
aux Cieux,
en l’onde
tout repose,
Tout seul je veille, et tout seul je dispose
Mon âme
au choc
de cent mille travaux :
Et pour Dictame, au
souci
qui m’affole,
J’ai dans mes
yeux
incessamment l’Idole
De la beauté
qui me fait tant de maux.
Ores les
airs
et la terre
et les Cieux
Penchent leur front
au giron
du Silence,
Ores le Somme
ès flots
de l’oubliance
Trempe le soin
des hommes
et des Dieux.
Ores la
Nuit
de son char
radieux
Par l’Horizon les deux
brides
élance,
Où mainte flamme,
en diverse cadence,
Brille en tournant d’un
pied
laborieux.
En
terre,
aux Cieux,
en l’onde
tout repose,
Tout seul je veille, et
tout seul je dispose
Mon âme
au choc
de cent mille travaux :
Et pour Dictame,
au souci
qui m’affole,
J’ai dans mes
yeux
incessamment l’Idole
De la beauté
qui me fait tant de maux.
En ligne le
16/11/12.
Dernière révision le 25/02/24.