[…]
phelipot.
[…]
Et soit jour,
ou soit nuit,
je ne pense qu’en toi
Qui seule peux chasser mon chaleureux
émoi,
D’un clin
d’œil
seulement parsemant dans mon
âme
Un remède
à
l’horreur
de ma brûlante
flamme :
Témoin
m’en soit ce chêne,
où avec un couteau
J’ai gravé ce
quatrain
lequel me semble beau.
avant
que phelipot laisse sa francion,
diminuant l’ardeur
de son affection,
les ruisseaux
refuiront jusque dans leur
fontaine,
le bouc
sera sans barbe
et la brebis
sans laine.
[…]
[…]
phelipot.
[…]
Et soit jour,
ou soit nuit,
je ne pense qu’en toi
Qui seule peux chasser mon chaleureux
émoi,
D’un clin
d’œil
seulement parsemant dans mon
âme
Un remède
à
l’horreur
de ma brûlante
flamme :
Témoin
m’en soit ce chêne,
où avec un couteau
J’ai gravé ce
quatrain
lequel me semble beau.
avant
que phelipot laisse sa francion,
diminuant l’ardeur
de son affection,
les ruisseaux
refuiront jusque dans leur
fontaine,
le bouc
sera sans barbe
et la brebis
sans laine.
[…]
En ligne le
22/06/14.
Dernière révision le 17/12/22.