Le
rocher
endurci
n’est tant battu des
flots
Agités çà et là sur la
perse
marine,
Éole
si souvent n’essouffle sa
narine,
Pour faire montagner le neptunien
clos.
Le
ciel
n’a tant de feux
dans son
luisant
enclos,
Quand la nuit
propre aux jeux
de la
belle
Cyprine,
Vient d’un voile
couvrir la
terrestre
machine,
Sur nous versant le miel
d’un
doucereux
repos.
La
mer
ne cache encor en sa
large
étendue
Tant de poissons
divers :
ni la terre
n’est vue
Avoir tant d’animaux, de
plantes
ni de fleurs :
Il n’y a dans les
bois
tant de feuilles
à
l’ombre,
L’air
venteux
ne soutient d’oiseaux
un si
grand
nombre,
Que je sens nuit
et jour
d’ennuis
et de douleurs.
Le
rocher
endurci
n’est tant battu des
flots
Agités çà et là sur la
perse
marine,
Éole
si souvent n’essouffle sa
narine,
Pour faire montagner le neptunien
clos.
Le
ciel
n’a tant de feux
dans son
luisant
enclos,
Quand la nuit
propre aux jeux
de la
belle
Cyprine,
Vient d’un voile
couvrir la
terrestre
machine,
Sur nous versant le miel
d’un
doucereux
repos.
La
mer
ne cache encor en sa
large
étendue
Tant de poissons
divers :
ni la terre
n’est vue
Avoir tant d’animaux, de
plantes
ni de fleurs :
Il n’y a dans les
bois
tant de feuilles
à
l’ombre,
L’air
venteux
ne soutient d’oiseaux
un si
grand
nombre,
Que je sens nuit
et jour
d’ennuis
et de douleurs.
En ligne le
29/11/04.
Dernière révision le 12/12/23.