i.
QUand
on arrêtera la
course
coutumière
Du grand
Courrier
des Cieux,
qui porte la lumière :
Quand on arrêtera
l’an
qui roule toujours
Sur un char
attelé de mois,
d’heures,
de jours :
Quand on arrêtera
l’armée
vagabonde
Qui va courant, la nuit
par le vide des cieux,
Décochant contre nous les
longs
traits
de ses yeux :
Lors on arrêtera
l’inconstance
du Monde.
i.
QUand
on arrêtera la
course
coutumière
Du grand
Courrier
des Cieux,
qui porte la lumière :
Quand on arrêtera
l’an
qui roule toujours
Sur un char
attelé de mois,
d’heures,
de jours :
Quand on arrêtera
l’armée
vagabonde
Qui va courant, la nuit
par le vide des cieux,
Décochant contre nous les
longs
traits
de ses yeux :
Lors on arrêtera
l’inconstance
du Monde.
Version de 1591 en ligne le
30/08/11,
remplacée par celle de 1587 le 05/12/19.
Dernière révision le 11/06/23.