[…]
Et pour néant,
j’avais
en ta faveur,
Chanté des vers,
au jeu
de l’églantine,
Ô peuple
ingrat,
ô Toulouse
mutine,
Pour le loyer d’avoir chanté ton
los,
Tu butinais, et mes vers,
et mes os.
Qui compterait les
horribles
Tueries,
Les cris,
les plaints, et les
longues
furies,
De cette nuit,
et qui tant de douleurs
Saurait au moins égaler de ses
pleurs ?
Il compterait les couleurs
de sa nue,
Quand le soleil
de sa pointe
menue
Fait l’arc-en-ciel,
il compterait encor
Les
petits
yeux
marquetés de
fin
or,
Quand sous la nuit,
ma belle
Latoïde
D’un branle
égal,
à la danse
les guide.
[…]
[…]
Et pour néant,
j’avais
en ta faveur,
Chanté des vers,
au jeu
de l’églantine,
Ô peuple
ingrat, ô Toulouse
mutine,
Pour le loyer d’avoir chanté ton
los,
Tu butinais, et mes
vers,
et mes os.
Qui compterait les
horribles
Tueries,
Les cris,
les plaints, et les
longues
furies,
De cette nuit,
et qui tant de douleurs
Saurait au moins égaler de ses
pleurs ?
Il compterait les couleurs
de sa nue,
Quand le soleil
de sa pointe
menue
Fait l’arc-en-ciel, il compterait encor
Les
petits
yeux
marquetés de
fin
or,
Quand sous la nuit,
ma belle
Latoïde
D’un branle
égal,
à la danse
les guide.
[…]
En ligne le
24/06/10.
Dernière révision le 30/01/24.