LE
Ciel
n’a point tant de
flambeaux
Qui jour
et nuit
nous illuminent,
Tant de peuples
les
bleues
eaux
Qui sans pieds
hardiment cheminent,
Tant de fleurs
le gai
renouveau,
Tant d’oiseaux
la haute
contrée,
Tant de sons
le bi-front coupeau,
Tant de troupeaux
la jeune
prée :
Que ma Floride arme en ces lieux
De beautés
qui me font la guerre,
Car elle porte dans ses
yeux
Le Ciel,
l’onde
salse, et la
terre.
LE
Ciel
n’a point tant de
flambeaux
Qui jour
et nuit
nous illuminent,
Tant de peuples
les
bleues
eaux
Qui sans pieds
hardiment cheminent,
Tant de fleurs
le gai
renouveau,
Tant d’oiseaux
la haute
contrée,
Tant de sons
le bi-front coupeau,
Tant de troupeaux
la jeune
prée :
Que ma Floride arme en ces lieux
De beautés
qui me font la guerre,
Car elle porte dans ses
yeux
Le Ciel,
l’onde
salse, et la
terre.
En ligne le
30/04/24.
Dernière révision le 30/04/24.