F
SI
vite par la plaine
à l’héritier
de Rhée
Le sapin
tabourdé
d’un Ouest
inconstant
Ne galope léger : Et le
trait
loin-portant
Ne coupe si soudain la
campagne
aérée :
Si tôt ses
traits
grondants
de sa voûte
éthérée
Le mari
de Juno
ne va point éclatant :
Et l’aigle
ravisseur,
si tôt ne va battant
De son ventre
poussé, la colombe
égarée :
Que l’importun
Sommeil
m’a dardé le
rinceau
Qu’il trempe dans le creux de
l’oublieux
ruisseau,
Et m’a contraint baisser dessous son
coup
la tête.
Pardonne-moi,
Sommeil,
Roi
de toute la nuit
Sinon aux soucieux, car pour ton seul
déduit
Cet
étrange
discours à ton
honneur
s’apprête.
F
SI
vite par la plaine
à l’héritier
de Rhée
Le sapin
tabourdé
d’un Ouest
inconstant
Ne galope léger : Et le
trait
loin-portant
Ne coupe si soudain la
campagne
aérée :
Si tôt ses
traits
grondants
de sa voûte
éthérée
Le mari
de Juno
ne va point éclatant :
Et l’aigle
ravisseur,
si tôt ne va battant
De son ventre
poussé, la colombe
égarée :
Que
l’importun
Sommeil
m’a dardé le
rinceau
Qu’il trempe dans le creux de
l’oublieux
ruisseau,
Et m’a contraint baisser dessous son
coup
la tête.
Pardonne-moi,
Sommeil,
Roi
de toute la nuit
Sinon aux soucieux, car pour ton seul
déduit
Cet
étrange
discours à ton
honneur
s’apprête.
En ligne le
14/04/15.
Dernière révision le 01/05/21.