Celui qui a, soûlant sa
fantaisie,
Voulu compter ce
grand
nombre de feux,
Qui de la nuit
couronnent les cheveux,
La terre
étant de
fort
somme
saisie :
Cil qui connaît les
hommes
de l’Asie,
Voire tous ceux qui sont dessous les
cieux :
Qui peut compter les flots
impétueux,
Ou le sablon
que la mer
rassasie :
Qui a compté les
feuilles
des forêts,
L’herbe
au printemps
le beau
blé
des guérets,
Les fruits
d’Automne,
et la grêle
perlée :
Ne pourrait pas du Seigneur raconter
Les
grand’s
bontés,
que l’on voit surmonter
Tout ce qu’enclot la
machine
étoilée.
Celui qui a,
soûlant sa
fantaisie,
Voulu compter ce
grand
nombre de feux,
Qui de la nuit
couronnent les cheveux,
La terre
étant de
fort
somme
saisie :
Cil qui connaît les
hommes
de l’Asie,
Voire tous ceux qui sont dessous les
cieux :
Qui peut compter les flots
impétueux,
Ou le sablon
que la mer
rassasie :
Qui a compté les
feuilles
des forêts,
L’herbe
au printemps
le beau
blé
des guérets,
Les fruits
d’Automne,
et la grêle
perlée :
Ne pourrait pas du Seigneur raconter
Les
grand’s
bontés, que l’on voit surmonter
Tout ce qu’enclot la
machine
étoilée.
En ligne le
07/02/09.
Dernière révision le 05/03/24.