Quel
mont
nuit
et jour
consumé
Passe mon
amoureuse
flamme ?
Et quel Océan
fluctueux
Écume en
flots
impétueux
Si fort que la mer
de mon âme ?
L’hiver
n’a point tant de
glaçons,
L’été
tant de
jaunes
moissons,
L’Afrique
de chaudes
arènes,
Le ciel
de feux
étincelants,
Et la nuit
de songes
volants,
Que pour vous j’endure de
peines.
Toute
douleur
qui nous survient
Peu à peu moins forte devient,
Le temps
comme un songe
l’emporte :
Mais il ne faut pas espérer
Que le temps
puisse modérer
Le mal
que votre œil
nous apporte.
[…]
Quel
mont
nuit
et jour
consumé
Passe mon
amoureuse
flamme ?
Et quel Océan
fluctueux
Écume en flots
impétueux
Si fort que la mer
de mon âme ?
L’hiver
n’a point tant de
glaçons,
L’été
tant de
jaunes
moissons,
L’Afrique
de chaudes
arènes,
Le ciel
de feux
étincelants,
Et la nuit
de songes
volants,
Que pour vous j’endure
de
peines.
Toute
douleur
qui nous survient
Peu à peu moins forte devient,
Le temps
comme un songe
l’emporte :
Mais il ne faut pas espérer
Que le temps
puisse modérer
Le mal
que votre œil
nous apporte.
[…]
En ligne le
05/10/06.
Dernière révision le 28/10/24.