A
DIeu
des chemins
Cyllénien
Mercure
Qui tout le jour
sur le ciel
sers les Dieux,
Et toute nuit
touches ès
tristes
lieux
Les
froids
esprits
dépouilles
de mort
dure,
Prends, je te pri’, de ces
vers
quelque cure
Que tout le temps
que sous les
courbés
cieux
Je prends chemin,
que j’erre soucieux,
Je te dépeins de
diverse
figure.
Les
esprits
n’ont méprisé mon veiller,
Et d’une nuit
ne m’ont vu sommeiller :
Pour Neptune
est mon onde
désignée ;
Or doit de toi, si tu lui es
bénin,
Bon
conducteur
de telle
destinée,
Prendre son heur mon
entrepris
chemin.
A
DIeu
des chemins
Cyllénien
Mercure
Qui tout le jour
sur le ciel
sers les Dieux,
Et toute nuit
touches ès
tristes
lieux
Les
froids
esprits
dépouilles
de mort
dure,
Prends,
je te pri’, de
ces vers
quelque cure
Que tout le temps
que sous les
courbés
cieux
Je prends chemin,
que j’erre
soucieux,
Je te dépeins de
diverse
figure.
Les
esprits
n’ont
méprisé mon
veiller,
Et d’une
nuit
ne m’ont vu
sommeiller :
Pour Neptune
est mon onde
désignée ;
Or doit de toi,
si tu lui es bénin,
Bon
conducteur
de telle
destinée,
Prendre son heur mon
entrepris
chemin.
En ligne le
02/05/21.
Dernière révision le 24/08/24.