Qui a nombré, quand
l’Astre,
qui plus luit,
Jà le milieu du bas
Cercle
environne,
Tous ces
beaux
feux,
qui font une Couronne
Aux noirs
Cheveux
de la plus
claire
nuit ?
Et qui a su combien de
fleurs
produit
Le vert
Printemps,
combien de fruits
l’Automne,
Et les Trésors,
que l’Inde
riche
donne
Au Marinier,
qu’Avarice
conduit ?
Qui a compté les
étincelles
vives
D’Etne,
ou Vésuve, et les
flots,
qui en Mer
Heurtent le front
des
écumeuses
Rives,
Celui encor d’une, qui tout
excelle,
Peut les Vertus,
et Beautés
estimer,
Et les tourments,
que j’ai pour
l’Amour
d’elle.
Qui
a nombré, quand
l’Astre,
qui plus luit,
Jà le milieu du
bas Cercle
environne,
Tous ces
beaux
feux,
qui font une Couronne
Aux
noirs
Cheveux de la plus
claire
nuit ?
Et
qui a su combien de fleurs
produit
Le
vert
Printemps, combien de
fruits
l’Automne,
Et les
Trésors, que
l’Inde
riche
donne
Au
Marinier,
qu’Avarice
conduit ?
Qui
a compté les
étincelles
vives
D’Etne,
ou Vésuve, et
les flots,
qui en Mer
Heurtent le
front
des écumeuses
Rives,
Celui
encor d’une, qui
tout excelle,
Peut les
Vertus,
et Beautés
estimer,
Et les
tourments,
que j’ai pour
l’Amour
d’elle.
Version de l’édition
de 1550 en ligne le
04/03/05,
remplacée par celle de 1549 le 01/07/13.
Dernière révision le 16/11/24.