Ni par les
bois
les Dryades
courantes,
Ni par les champs
les fiers
scadrons
armés,
Ni par les flots
les
grands
vaisseaux ramés,
Ni sur les fleurs
les abeilles
errantes,
Ni des
forêts
les tresses
verdoyantes,
Ni des oiseaux
les corps bien
emplumés,
Ni de la nuit
les flambeaux
allumés,
Ni des rochers
les traces
ondoyantes,
Ni les
piliers
des
saints
temples
dorés,
Ni les palais
de marbre
élaborés,
Ni l’or
encor, ni la perle
tant
claire,
Ni tout le beau, que
possèdent les cieux,
Ni le plaisir
pourrait plaire à mes
yeux,
Ne voyant point le Soleil,
qui m’éclaire.
Ni par les
bois
les Dryades
courantes,
Ni par les champs
les fiers
scadrons
armés,
Ni par les flots
les
grands
vaisseaux ramés,
Ni sur les fleurs
les abeilles
errantes,
Ni des
forêts
les tresses
verdoyantes,
Ni des oiseaux
les corps bien
emplumés,
Ni de la nuit
les flambeaux
allumés,
Ni des rochers
les traces
ondoyantes,
Ni les
piliers
des
saints
temples
dorés,
Ni les palais
de marbre
élaborés,
Ni l’or
encor, ni la
perle
tant
claire,
Ni tout le beau,
que possèdent les
cieux,
Ni le plaisir
pourrait plaire à mes
yeux,
Ne voyant point le Soleil, qui
m’éclaire.
En ligne le
11/11/06.
Dernière révision le 25/05/24.