LAnce
au bout
d’or
qui fais et poindre et oindre,
De qui jamais la
roideur
ne défaut,
Quand en camp
clos
bras
à bras
il me faut
Toutes les nuits
au doux
combat
me joindre.
Lance
vraiment qui ne fus jamais moindre
À ton dernier qu’à ton premier
assaut,
De qui le bout
bravement dressé haut
Est toujours prêt de choquer et de poindre.
Sans toi le
Monde
un Chaos
se ferait,
Nature
manque inhabile serait
Sans tes combats
d’accomplir ses
offices :
Donc, si tu es l’instrument de
bonheur
Par qui l’on vit, combien à ton
honneur
Doit-on de vœux,
combien de sacrifices ?
LAnce
au bout
d’or
qui fais et poindre et oindre,
De qui jamais la
roideur
ne défaut,
Quand en camp
clos
bras
à bras
il me faut
Toutes les nuits
au doux
combat
me joindre.
Lance
vraiment qui ne fus jamais moindre
À ton dernier qu’à ton premier
assaut,
De qui le bout
bravement dressé haut
Est toujours prêt de choquer et de poindre.
Sans toi le
Monde
un Chaos
se ferait,
Nature
manque inhabile serait
Sans tes combats
d’accomplir ses
offices :
Donc, si tu es l’instrument de
bonheur
Par qui l’on vit, combien à ton
honneur
Doit-on de vœux,
combien de sacrifices ?
En ligne le 01/07/18.
Dernière révision le 20/02/22.