««« om­brage ou ombre »»»

« ombrage », « ombre » ou « ombres » dans :
Salel
1540
~ Pour récréer…
Phi­lieul
1548 [1555]
~ Tous ani­maux… (Canz., 22)
~ Ni Pô, Tésin, ni Tibre… (Canz., 148)
Du Bellay
1550
~ Quand la fureur…
1553
~ [Plutôt les Cerfs…
Baïf
1552
~ Mets-moi au bord…
1573
~ [J’ai un bel antre creux…
Jo­delle
1553
~ Phébus, Amour, Cypris…
Taille­mont
1556
~ D’une pro­por­tion…
François Habert
1559
~ [Car plutôt on ver­ra…
Turrin
1572
~ [Ici l’her­bette est drue…
Gadou
1573
~ Plus la douce clar­té…
~ Rome, qui fus sans Rome…
Jamyn
1575
~ Somme léger…
Le Saulx
1577
~ L’Éternel qui sans jours… (Th., 65)
Boys­sières
1578
~ L’on peut or’ contem­pler…
Hes­teau
1578
~ Ô vive et sainte flamme…
~ Toujours de Jupi­ter…
~ [Aussitôt on ver­ra…
Pon­toux
1579
~ Les belles fleurs…
La Jessée
1579
~ Adieu Paris Adieu…
1583
~ Quand l’ami­tié…
~ Je vis en paix…
~ L’espoir m’en­flam­me…
~ D’où part ce vent ailé…
~ Assuré je m’élève…
Le Loyer
1579
~ Doux est l’ébat…
Du Monin
1582
~ Le printa­nier émail…
Blan­chon
1583
~ Le Printemps gra­cieux… [strophe 3]
~ Amour est vie, et mort…
Breton­nayau
1583
~ [Au delà les con­fins…
Isaac Habert
1585
~ Tout ce qui est com­pris…
~ [Tu as laissé ton Dieu…
Des­aurs
1589
~ Tel qu’un pas­sant…
Poupo
1590
~ [Il n’y a pas au bord…
Grisel
1599
~ Le rocher endur­ci…
Ner­vèze
1605
~ Beaux cheveux mes liens…
Malde­ghem
1606
~ Tout ani­mal… (Canz., 22)
Nostre­dame
1606
~ [Pensons un peu…
1608
~ [Comme un peintre excel­lent…
Certon
1620
~ Qui vante qui vou­dra…
Mar­beuf
1628
~ [La propre­té…

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Ombrage ou Ombre. Frais, se­cret, amou­reux, feuil­lu, obs­cur, épais, hos­pi­tale, pa­res­seux, lent, esti­val, mou­vant, som­meil­leux, doux, aggra­vé, en­dor­mi ou en­dor­mant, pai­sible, sui­vant, écar­té, mol, vert ou ver­doyant, her­bu, noir, trem­blo­tant, fuyard.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 183r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_372]
(texte modernisé).

[Adom­bré /-ée. Brouil­lard, vie, vit.]

[Courrière ombreuse, étoile four­rière des ombres. Ves­per.]

[Guerre adom­brée. Procès.]

[Ombra­gé. Con.]

[Ombrage des montagnes. Sapin.]

[Ombra­geux /-euse /-s. Arbre, branche, chêne, che­veux, con, coudre ou cou­drier, feuil­lard ou feuille, feuil­lée, fi­guier, forêt, fraî­cheur ou fres­cade, Ide, noyer, orme, Pé­lion, roc, roche ou ro­cher, tail­lis, té­nèbres, toit ou tect, ver­dure, yeuse.]

[Ombre de mort. Malade, vieil ou vieil­lard.]

[Ombre vivante. Homme.]

[Ombreux /-euse /-s. Aché­ron, Alpes, antre, arbre, arbreau ou ar­bris­seau, Averne, bo­cage, bois, branche, brouil­lard, buis­son, ca­verne, chêne, Co­cyte, coin, con, coudre ou cou­drier, en­fer, Éry­manthe, fau, fou­teau ou hêtre, feuil­lard ou feuille, feuil­lée, fi­guier, fo­rêt, fosse, fraî­cheur ou fres­cade, frêne, haie, Ide, image, Mânes, mi­nuit, mont ou mon­tagne, motte d’homme ou de femme, myrte, noyer, nuau ou nuage, nue ou nuée, nuit, obs­cu­ri­té, oli­vier, Orque, pâ­leur, palme ou pal­mier, pampre, Pé­lion, plaine, poil, pri­son, ra­meau, ri­vage ou rive, roc, roche ou ro­cher, sa­pin, saule, se­crète, si­lence, soir ou se­rée, Styx, tail­lis, Tar­tare, té­nèbres, toit ou tect, tombe ou tom­beau, val ou val­lée, vêpre ou vê­prée, ver­dure, vigne, yeuse.]

[Vertu adombrée. Hy­po­cri­sie.]

[Voir aussi ombres.]


 

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Ombrage ou Ombre. Frais, se­cret, amou­reus, fueil­lu, obs­cur, espais, hos­pi­tale, pa­res­seus, lent, esti­ual, mou­uant, som­meil­leus, doux, agra­ué, en­dor­mi ou en­dor­mant, pai­sible, sui­uant, escar­té, mol, vert ou ver­doiant, her­bu, noir, trem­blo­tant, fuiard.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 183r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_372]
(texte original).

[Adom­bré /-ee. Brouillard, vie, vit.]

[Courriere ombreuse, estoile four­riere des ombres. Ves­per.]

[Guerre adom­bree. Proces.]

[Ombra­gé. Con.]

[Ombrage des montagnes. Sapin.]

[Ombra­geus /-euse /-s. Arbre, branche, chesne, che­ueus, con, coudre ou cou­drier, fi­guier, fo­rest, fres­cheur ou fres­cade, fueil­lard ou fueille, fueil­lee, Ide, ieuse, noier, orme, Pe­lion, roc, roche ou ro­cher, tail­lis, te­nebres, toict ou tect, ver­dure.]

[Ombre de mort. Malade, vieil ou vieil­lard.]

[Ombre viuante. Homme.]

[Ombreus /-euse /-s. Ache­ron, Alpes, antre, arbre, arbreau ou ar­bris­seau, Auerne, bo­cage, bois, branche, brouil­lard, buis­son, ca­uerne, chesne, Co­cyte, coin, con, coudre ou cou­drier, en­fer, Ery­manthe, fau, fou­teau ou hestre, fi­guier, fo­rest, fosse, fres­cheur ou fres­cade, fresne, fueil­lard ou fueille, fueil­lee, haie, Ide, ieuse, image, Manes, mi­nuit, mont ou mon­taigne, motte d’homme ou de femme, myrte, noier, nuau ou nuage, nue ou nuee, nuit, obs­cu­ri­té, oli­uier, Orque, pal­leur, palme ou pal­mier, pampre, Pe­lion, plaine, poil, pri­son, ra­meau, ri­uage ou riue, roc, roche ou ro­cher, sapin, saulle, se­crete, si­lence, soir ou se­ree, Styx, tail­lis, Tar­tare, te­nebres, toict ou tect, tombe ou tom­beau, val ou va­lee, ver­dure, vespre ou ves­pree, vigne.]

[Vertu adombree. Hy­po­cri­sie.]

[Voir aussi ombres.]