[…]
La
mer
n’est pas toujours agitée de
flots,
Et toujours il ne neige aux plus
hautes
montagnes,
Les vents
sont quelquefois au fond de
l’air
enclos,
Sans cesse le Soleil
ne brûle les
campagnes :
Mais jamais je ne vois qu’un
doux
allègement
Mette fin à mes
pleurs,
à mon si
grief
tourment.
Ce
beau
Printemps
fleuri
perdra plutôt ses
fleurs,
Plutôt la nuit
sera sans étoiles
luisantes,
Que je voie sécher les
torrents
de mes pleurs,
Que je voie une fin de mes
peines
cuisantes ;
Plutôt le feu
sera sans aucune chaleur,
Que t’émeuvent les
cris
de ma
triste
douleur.
[…]
[…]
La
mer
n’est pas toujours
agitée de
flots,
Et toujours il ne neige aux
plus
hautes
montagnes,
Les vents
sont quelquefois au fond de
l’air
enclos,
Sans cesse le Soleil
ne brûle les
campagnes :
Mais jamais
je ne vois qu’un
doux
allègement
Mette fin à mes
pleurs,
à mon si
grief
tourment.
Ce
beau
Printemps
fleuri
perdra plutôt ses
fleurs,
Plutôt la nuit
sera sans étoiles
luisantes,
Que je voie
sécher les torrents
de mes pleurs,
Que je voie une fin de mes
peines
cuisantes ;
Plutôt le feu
sera sans aucune chaleur,
Que t’émeuvent les
cris
de ma
triste
douleur.
[…]
En ligne le
29/09/13.
Dernière révision le 13/03/23.