PLutôt
de l’Univers cette
ronde
Encyclie
On pourrait voir changer en carré sa
rondeur,
Et la terre
élever sa
creuse
profondeur
Sur la hauteur
du ciel,
qui d’astres
est remplie,
Plutôt on pourrait voir dedans
la mer
polie
Éclairer du Soleil
la naïve
splendeur,
Et dans le ciel
flotter des hurques la
grandeur,
Que je mette en oubli
Christ
qui m’a anoblie.
Quand
l’agneau
et le loup
ensemble hanteront,
Et dans un même trou leurs
fils
enfanteront,
Et le feu
dedans l’eau
de l’eau
prendra naissance.
Quand le
jour
sera nuit,
et la nuit
jour
vermeil,
Oublier je pourrai le Christ
mon seul Soleil,
Qui de son clair
reluit dedans ma conscience.
PLutôt
de l’Univers cette
ronde
Encyclie
On pourrait voir changer en carré sa
rondeur,
Et la terre
élever sa
creuse
profondeur
Sur la hauteur
du ciel,
qui d’astres
est remplie,
Plutôt on pourrait voir dedans
la mer
polie
Éclairer du Soleil
la naïve
splendeur,
Et dans le ciel
flotter des hurques la
grandeur,
Que je mette en oubli
Christ
qui m’a anoblie.
Quand
l’agneau
et le loup
ensemble hanteront,
Et dans un même trou leurs
fils
enfanteront,
Et le feu
dedans l’eau
de l’eau
prendra naissance.
Quand le
jour
sera nuit,
et la nuit
jour
vermeil,
Oublier je pourrai le Christ
mon seul Soleil,
Qui de son clair
reluit dedans ma conscience.
En ligne le
04/07/07.
Dernière révision le 25/02/24.