Yeuse. Gémissant, vert, ombreux ou ombrageux, porte-gland, rivager, haut, rameux, frondoyant, branchu, penchant.
L’Yeuse d’aucuns
nommé Chêne vert
est un arbre de belle
hauteur,
ayant son écorce
rousse tirant sur le noir, et son bois
fort massif et dur. Il est toujours vert, et son
gland est moindre en
grosseur et vertu que celui du
Chêne.
On use de cette diction au masculin et
féminin.
Maurice de LA PORTE, Les
Épithètes, 1571,
f° 134r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_274]
(texte modernisé).
[Voir aussi aubépine, aulne, buis, cèdre, châtaignier, cormier, coudre ou coudrier, cyprès, fau, fouteau ou hêtre, figuier, frêne, houx, laurier, myrte, noyer, olivier, oranger, orme, palme ou palmier, peuplier, pin, sapin, saule.]
Ieuse. Gemissant, vert, ombreus ou ombrageus, porte-gland, riuager, haut, rameus, frondoiant, branchu, panchant.
L’ieuse d’aucuns
nommé Chesne-uert
est vn arbre de
belle hauteur,
aiant son escorce
rousse tirant sur le noir, & son
bois
fort massif & dur. Il est tousiours vert,
& son gland
est moindre en grosseur & vertu que celui du
Chesne.
On vse de ceste diction au masc. & femi.
Maurice de LA PORTE, Les
Epithetes, 1571,
f° 134r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_274]
(texte original).
[Voir aussi aubespine, aune, buys, cedre, chastaignier, chesne, cormier, coudre ou coudrier, cyprés, fau, fouteau ou hestre, figuier, fresne, houx, laurier, myrte, noier, oliuier, oranger, orme, palme ou palmier, peuplier, pin, sapin, saulle.]