L’on peut or’
contempler la terre
diaprée
De cinq cent mil couleurs
et d’un
divers
émail,
Zéphyre
y sert (épris de
Flore)
d’éventail,
À voir cet
ornement
tout esprit
se recrée.
Les
coulants
ruisselets,
doux,
abreuvent la prée,
Le serein
amoureux
de son pleur
(argentail)
Arrose la verdure
et d’un
doux
soupirail
Épanche sa
fraîcheur
au sein
de la vêprée.
Mais ce
temps
si
plaisant,
ma maîtresse,
est pareil
À
l’ombre
qui se forme ès
rayons
du soleil,
La rose
en son rosier
est
(déclose)
fanie.
La
fleur
de tes beautés
périra tout ainsi,
Endure la cueillir puisqu’elle est
épanie,
Et de ton bien reçois à tout le moins
souci.
L’on
peut or’ contempler la
terre
diaprée
De cinq cent mil
couleurs
et d’un
divers
émail,
Zéphyre
y sert (épris
de Flore)
d’éventail,
À voir cet
ornement
tout esprit
se recrée.
Les
coulants
ruisselets,
doux,
abreuvent la prée,
Le serein amoureux
de son pleur
(argentail)
Arrose la
verdure
et d’un
doux
soupirail
Épanche sa
fraîcheur
au sein
de la vêprée.
Mais
ce temps
si
plaisant,
ma maîtresse,
est pareil
À
l’ombre
qui se forme ès
rayons
du soleil,
La
rose
en son rosier
est (déclose) fanie.
La
fleur
de tes beautés
périra tout ainsi,
Endure la cueillir
puisqu’elle est
épanie,
Et de ton bien
reçois à tout le moins
souci.
En ligne le
24/09/10.
Dernière révision le 07/10/21.