Les Épithètes
de Maurice de La Porte (1571)
Le Préam­bule des
innom­brables
««« Pé­lion »»»

« la motte pélienne » dans :
Cer­ton
1620
~ Qui vou­drait résis­ter…

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◊ « la motte pélienne » (Certon)
 

Pélion. Per­ru­qué, thes­sa­lien, om­breux ou om­bra­geux, porte-pin, che­ve­lu, fron­doyant, émo­nien.

C’est le nom d’une mon­tagne de Thes­sa­lie, au som­met de la­quelle y a force Pins, et au reste n’y a que Chênes.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 199v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_405]
(texte modernisé).

[Pélien. Achille, Chi­ron.]

[Voir aussi Chi­mère, Éry­manthe, Hy­mette, Ide, Œté, Olympe, Par­nasse, Pinde, Rho­do­pé.]


 

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Pelion. Per­ru­qué, thes­sa­lien, om­breus ou om­bra­geus, porte-pin, che­ue­lu, fron­doiant, æmo­nien.

C’est le nom d’vne mon­tagne de Thes­sa­lie, au som­met de la­quelle y a force Pins, & au reste n’y a que Chesnes.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 199v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_405]
(texte original).

[Pelien [+pellien]. Achille, Chi­ron.]

[Voir aussi Chi­mœre, Ery­manthe, Hy­mette, Ide, Oeté, Olympe, Par­nasse, Pinde, Rho­do­pé.]

[R]