Doux
est l’ébat
que l’on prend à courir
Le Cerf
qui fuit par une
ouverte
plaine,
Doux
le surgeon
d’une
vive
fontaine
Qui bruit, qui court sans jamais se tarir :
Douce
en Été
l’ombre
qui peut guérir,
Nos membres
las
de chaleur,
et de peine :
Doux
le printemps,
et douce
aussi l’haleine,
Du vent
Zéphyr’
qui vient Flore
chérir.
L’air qui
est beau,
et
serein
nous agrée :
Quand il fait
froid,
un beau
feu
nous recrée
Le corps
qui est de frissons
tout ému.
Mais par sur tout j’aime ta
douce
grâce
Et plus me plaît qu’un
printemps,
que la chasse,
Que l’eau,
le vent,
l’ombre,
l’air,
et le feu.
Doux
est l’ébat
que l’on prend
à courir
Le Cerf
qui fuit par une
ouverte
plaine,
Doux
le surgeon
d’une
vive
fontaine
Qui bruit, qui court sans
jamais se tarir :
Douce
en Été
l’ombre
qui peut guérir,
Nos membres
las
de chaleur,
et de peine :
Doux
le printemps,
et douce
aussi l’haleine,
Du vent
Zéphyr’
qui vient Flore
chérir.
L’air qui
est beau, et
serein
nous agrée :
Quand il fait froid,
un beau
feu
nous recrée
Le corps
qui est de frissons
tout ému.
Mais par sur tout
j’aime ta
douce
grâce
Et plus me plaît qu’un
printemps,
que la chasse,
Que l’eau,
le vent,
l’ombre,
l’air,
et le feu.
En ligne le
16/04/22.
Dernière révision le 24/04/24.