Baïf. Divin, grec-français, doux, amant-langoureux, docte, excellent, gentil, doux-coulant.
Jean Antoine de Baïf gentilhomme parisien, incontinent après notre grand poète Ronsard, fit participant le public de ses passions amoureuses non moins doctement que langoureusement écrites. Les Psaumes davidiques par lui naguère traduits de grec en français, non encore mis en lumière, feront connaître à nos survivants neveux la divinité de son gentil esprit.
Maurice de LA PORTE, Les
Épithètes, 1571,
f° 30v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_67]
(texte modernisé).
[Voir aussi Belleau, Buttet, Des Autels, Dorat, Du Bellay, Jodelle, La Péruse, Magny, Muret, Peletier, Sainte-Marthe, Salel, Scève, Tahureau, Tyard ; voir encore Alcée, Anacréon, Corinne, Euripide, Hésiode, Homère, Lycophron, Ménandre, Pindare, Sappho, Théocrite et Chérile, ainsi que Catulle, Horace, Juvénal, Lucain, Lucrèce, Martial, Ovide, Plaute, Tibulle, Virgile et Pétrarque.]
Baif. Diuin, grec-françois, doux, amant-langoureus, docte, excellent, gentil, doux-coulant.
Ian Antoine de Baif gentilhomme parisien, incontinent apres nostre grand poëte Ronsard, fit participant le public de ses passions amoureuses non moins doctement que langoureusement escrites. Les Psalmes dauidiques par lui n’agueres traduits de grec en françois, non encores mis en lumiere, feront connoistre à noz suruiuans nepueus la diuinité de son gentil esprit.
Maurice de LA PORTE, Les
Epithetes, 1571,
f° 30v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_67]
(texte original).
[Voir aussi Aurat, Bellay, Belleau, Buttet, Des Autels, Iodelle, Magni, Muret, Pelletier, Peruse, Pontus de Thiard, Saincte Marthe, Salel, Sceue, Tahureau ; voir encore Alcee, Anacreon, Corinne, Euripide, Hesiode, Homere, Lycophron, Menandre, Pindare, Sapphon, Theocrite et Cherile, ainsi que Catule, Horace, Iuuenal, Lucain, Lucrece, Martial, Ouide, Plaute, Tybulle, Virgile et Petrarque.]