Voir aussi :
Sonnets amoureux, Paris, 1559.
[gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k87122909]
[NUMM-8712290] [PDF_1_40 / 9,69 Mo]
Les fichiers PDF
téléchargés
comprennent une page de titre et une page
spécifiant les conditions
d’utilisation des
contenus de Gallica. Dans la
numérotation ci-dessous des pages
PDF, il n’est pas tenu compte de ces pages initiales.
[0] [pages liminaires] [ff. A1r°-B2v° =PDF_1_8]
Les pages liminaires comprennent une page de titre [f° A1r° =PDF_1] ; le privilège daté du vingt-deuxième avril 1559 [f° A1v° =PDF_2] ; « À sa Dame », épître de l’auteur en prose [ff. A2r°-B1v° =PDF_3_6] ; trois sonnets : « Jà mon brasier s’était réduit en cendre… » de Ronsard, « Mais de quel trait as-tu navré ce cœur… » de Belleau, « Amour par les regards d’une indomptable femme… » de Buttet [f° B2r°v° =PDF_7_8].
[1] [Sonnets] [ff. C1r°-(G1r°) =PDF_9_37]
[26 sonnets numérotés de i à xxvi, suivis d’une chanson]
∗
Sonnet XIV.
[d3]
[2]
[PDF_22]
métamorphose :
C’était
le jour qui m’était ennuyeux…
∗ Sonnet xvi. [f° D4v° =PDF_24]
Lorsque tous cois sont terre et ciel et vent…
[2] [pages finales] [ff. G1v°-G2r° =PDF_38_39]
Les pages finales comprennent trois sonnets : « Ici j’appends la dépouille ancienne… » de Ronsard, « Le bel esprit d’une pudique Dame… » de Des Autels et « Amour voyant l’orgueilleuse Bellone… » de Grévin.
En ligne le 29/01/24.
Dernière révision le 21/06/24.
Les Sonnets, Paris, 1560.
[gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k70650m]
[NUMM-70650] [PDF_1_35 / 1,5 Mo]
Les fichiers PDF
téléchargés
comprennent une page de titre et une page
spécifiant les conditions
d’utilisation des
contenus de Gallica. Dans la
numérotation ci-dessous des pages
PDF, il n’est pas tenu compte de ces pages initiales.
[0] [pages liminaires] [ff. A1r°-A4v° =PDF_1_8]
Les pages liminaires comprennent une page de titre [PDF_1] ; « À sa Dame », épître de l’auteur en prose [PDF_2_3] ; une série de huit sonnets : « Jà mon ardeur s’était réduite en cendre… » et « Ici j’appends la dépouille ancienne… » de Ronsard [PDF_4_5] ; « Mais de quel trait as-tu navré ce cœur… » de Belleau [PDF_5] ; « Amour par les regards d’une indomptable femme… » de Buttet et « Le bel esprit d’une pudique Dame… » de Des Autels [PDF_6] ; « Amour voyant l’orgueilleuse Bellone… » et « Je pensai, D’Espinay, être seul en la France… » de Grévin [PDF_7] ; « Si le pouvoir d’une rare beauté… » de Plessis Berard [PDF_8].
[1] Les Sonnets. [ff. B1r°-E1v° =PDF_9_34]
[49 sonnets non numérotés et une chanson qui prend place trois sonnets avant la fin]
[16]
[1]
[f° B4v°
=PDF_16]
métamorphose :
C’était
le jour d’un Avril gracieux…
[17]
[1]
[f° C1r°
=PDF_17]
Or
che ’l ciel… (Canz., 164) :
Lorsque
tous cois sont terre et ciel et vent…
[27]
[2]
[f° D2r°
=PDF_27]
recollection :
Or
désormais pauvres yeux lamentez…
∗
[sonnet 48]
[33]
[2]
[f° E1r°
=PDF_33]
portrait :
Ce
ne fut pas le trait de ces beaux yeux…
[34]
[1]
[f° E1v°
=PDF_34]
satire
à l’infinitif :
Contrefaire
au retour de quelque long voyage…
En ligne le 11/11/12.
Dernière révision le 29/01/24.