1606
• Les Perles, ou les Larmes de la sainte Madeleine1608
• La Marie dolenteVoir aussi :
Les Perles, ou les Larmes de la sainte Madeleine, 1608.
[gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b8623322n]
[IFN-8623322] [PDF_1_56 / 5,5 Mo]
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[0] [Pages liminaires] [pp. 1-10 =PDF_1_10]
Les pages liminaires comprennent la page de titre, p. 1 [PDF_1] ; une épître dédicatoire, « à très illustre, haute, puissante, et très vertueuse Dame Ellionor de Mont-pezat, Comtesse de Carces », pp. 3-8 [PDF_3_8] ; un huitain d’octosyllabes « à la même Dame », suivi d’ un quatrain terminé par un vers anagrammatique et de la devise de l’auteur, « Claros Clara Decent », p. 9 [PDF_9] ; un quatrain « à Monsieur de Nostredame Gentilhomme Provençal », suivi d’un distique latin, p. 10 [PDF_10].
[1] Les Perles, ou les Larmes de la sainte Madeleine [pp. 11-42 =PDF_11_42]
∗
[extrait]
[35]
[2]
[PDF_35_36]
ekphrasis :
Pensons
un peu comme elle était ravie…
[2] Sonnet. [p. 43 =PDF_43]
[3] Les Larmes de la sainte Vierge. [pp. 45-49 =PDF_45_49]
[4] Sonnet à la Croix. [p. 50 =PDF_50]
[5] Le Portrait ou Image du Sauveur, imitation de l’Épître de Publius Lentulus. [pp. 51-55 =PDF_51_55]
En ligne le 16/06/16.
Dernière révision le 26/02/24.
Le Tableau de Narcisse, 1606 ?
[gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b8623325w]
[NUMM-623325] [PDF_1_76 / 22,9 Mo]
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[0] [Pages liminaires] [pp. 1-5 =PDF_1_5]
Les pages liminaires comprennent la page de titre, p. 1 [PDF_1] ; une épître dédicatoire en prose, « à Messire Guillaume Du Vair, Chevalier Conseiller des Conseils d’État et Privé, et Prince du Sénat de Provence », pp. 3-4 [PDF_3_4] ; un sonnet, « Astrée devient gaie, et Bellone vient pâle », p. 5 [PDF_5].
[1] Le Tableau de Narcisse, pris de Philostrate. À Messire Guillaume Du Vair. [pp. 7-16 =PDF_7_16]
* Au même sieur Président [Guillaume Du Vair], Sonnet. [p. 17 =PDF_17]
[2] * À Monseigneur de Guyse, Sonnet. [p. 18 =PDF_18]
Plainte de la Provence [pp. 19-32 =PDF_19_32]
[3] Cartels pour le tournoi que fit Monseigneur de Guyse à la ville d’Aix. [pp. 33-42 =PDF_33_42]
[4] Discours d’un horrible verglas et grande mortalité d’oliviers advenue en la ville de Salon l’année 1603, le 6 de février. [pp. 43-59 =PDF_43_59]
[5] La Plume. Ode pindarique en faveur du sieur Lucas Matherot le plus excellent écrivain de cet âge. [pp. 61-73 (numérotées 41 à 53 par erreur) =PDF_61_73]
[6] [pages finales] [pp.74-75 (numérotées 54 et 55 par erreur) =PDF_74_75]
* Sonnet sur les enfants du Roi [p. 74 =PDF_74]
* Sonnet [p. 75 =PDF_75]
En ligne le 27/11/23.
Dernière révision le 26/02/24.
La Marie dolente, 1608.
[gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b8623324g]
[IFN-8623324] [PDF_1_44 / 14,3 Mo]
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[0] [Pages liminaires] [pp. 1-4 =PDF_1_4]
Les pages liminaires comprennent la page de titre, p. 1 [PDF_1] et une épître dédicatoire, « au Sieur Delsherms Avocat Toulousain », datée de « Salon ce premier jour de Février M. DC. VIII », pp. 3-4 [PDF_3_4].
[1] La Marie dolente au pied de la Croix [pp. 5-35 =PDF_5_35]
∗
[extrait]
[10]
[2]
[PDF_10_11]
ekphrasis :
Comme
un peintre excellent lorsqu’il couche ou qu’il
plaque…
[2] Sur le trépas de Damoiselle Marguerite Du Perier décédée en l’âge de cinq ans, ode pindarique [pp. 37-43 =PDF_37_43]
[3] Pour une Marguerite. Sonnet. [p. 44 =PDF_44]
En ligne le 01/06/16.
Dernière révision le 26/02/24.