Lis. Blanc, argenté, fleurissant, épani ou épanoui, beau, pâle, coloré, ouvert, riant, printanier, bruni, royal, blanchissant, peinturé, rosineux, pâlissant, fleuri, verdoyant.
Il n’y a fleur si haute que le Lis, car quelquefois sa tige a plus de trois coudées de long : La fleur est soutenue d’un col faible, et insuffisant à porter la charge de la tête : Sa blancheur est excellente sur toutes blancheurs : Davantage il n’y a plante qui multiplie plus que le Lis, parce qu’une seule racine produira plus de 50 côtes.
Maurice de LA PORTE, Les
Épithètes, 1571,
f° 150v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_307]
(texte modernisé).
[[Mon] lis. Nos amoureux transis […] en leurs écrits, principalement vers celles dont ils espèrent obtenir quelque faveur, […] appellent [ainsi leur] amoureuse ou amante.]
[Voir aussi amarante, amourettes, anis, fumeterre, giroflée, glaïeul, hysope, lavande, marguerite, œillet, pâquerette, pavot, pensées, rose, souci, thym, violette.]
Lis. Blanc, argenté, fleurissant, espani ou espanoui, beau, palle, coloré, ouuert, riant, primtanier, bruni, roial, blanchissant, peinturé, rosineus, pallissant, fleuri, verdoiant.
Il n’i a fleur si haute que le Lis, car quelquefois sa tige à plus de trois coudees de long: La fleur est soustenue d’vn col foible, & insuffisant à porter la charge de la teste: Sa blancheur est excellente sur toutes blancheurs: Dauantage il n’i a plante qui multiplie plus que le Lis, parce qu’vne seule racine produira plus de 50. costes.
Maurice de LA PORTE, Les
Epithetes, 1571,
f° 150v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_307]
(texte original).
[[Mon] lis. Noz amoureus transis […] en leurs escrits, principalement vers celles dont ils esperent obtenir quelque faueur, […] appelent [ainsi leur] amoureuse ou amante.]
[Voir aussi amaranthe, amourettes, anis, fumeterre, giroflee, glaieul, hyssope, lauande, marguerite, oeillet, pasquerette, pauot, pensees, rose, soulci, thym, violette.]
Liens
* On peut lire en ligne sur Gallica « Du Lys », chapitre CXXXVII, illustré d’une gravure coloriée, des Commentaires très excellents de l’histoire des plantes de Leonarth Fuchs, traduits du latin et publiés chez Jacques Gazeau vers 1548.
Liens valides au 06/12/19.