anaphore
de « ô »
(vers 1-12)
Ô
beaux
yeux
bruns !
dont les rais
amorcés
Donnent la vie
à ma
froide
espérance :
Ô
bruns
cheveux !
de ma
tendre
jouvence
Les doux
chaînons
crêpement
agencés !
Beau
front
d’ivoire !
ô tétins
balancés
D’un mouvement qui me donne
allégeance !
Ô
bruns
sourcils !
d’où
l’Archerot
avance
Le foudre
aigu
de ses traits
élancés.
Ô
parler
d’ambre
où nichent les
avettes !
Ô souris
d’Ange !
ô moissons
de perlettes !
Ô vermillons !
ô lis
blancs
colorés !
Ô
marbre !
ô jaspe !
ô civette ! ô
porphyre !
Si d’aventure
on fait cas
de ma lyre,
Qu’en ces honneurs
vous soyez honorés.
Ô
beaux
yeux
bruns !
dont les rais
amorcés
Donnent la vie
à ma
froide
espérance :
Ô
bruns
cheveux !
de ma
tendre
jouvence
Les doux
chaînons
crêpement
agencés !
Beau
front
d’ivoire !
ô tétins
balancés
D’un mouvement qui me donne
allégeance !
Ô
bruns
sourcils !
d’où
l’Archerot
avance
Le foudre
aigu
de ses traits
élancés.
Ô
parler
d’ambre
où nichent les
avettes !
Ô souris
d’Ange !
ô moissons
de perlettes !
Ô vermillons !
ô lis
blancs
colorés !
Ô
marbre !
ô jaspe !
ô civette !
ô
porphyre !
Si d’aventure
on fait cas
de ma lyre,
Qu’en ces honneurs
vous soyez honorés.
En ligne le
06/12/09.
Dernière révision le 10/12/23.