Ces
cheveux
d’or,
ce front
de marbre,
et celle
Bouche
d’œillets,
et de lis
toute pleine,
Ces doux
soupirs,
cette
odorante
haleine,
Et de ces yeux
l’une, et l’autre
étincelle,
Ce
chant
divin,
qui les âmes
rappelle,
Ce
chaste
ris,
enchanteur
de ma peine,
Ce corps,
ce tout, bref cette plus qu’humaine
Douce
beauté
si cruellement belle,
Ce
port
humain,
cette grâce
gentille,
Ce vif
esprit,
et ce
doux
grave
style,
Ce haut
penser,
cet
honnête
silence,
Ce sont les
haims,
les appâts,
et l’amorce,
Les traits
les rets,
qui ma
débile
force
Ont captivé d’une humble
violence.
Ces
cheveux
d’or,
ce front
de marbre,
et celle
Bouche
d’œillets,
et de lis
toute pleine,
Ces doux
soupirs,
cette
odorante
haleine,
Et de ces yeux
l’une, et l’autre
étincelle,
Ce
chant
divin,
qui les âmes
rappelle,
Ce
chaste
ris,
enchanteur
de ma peine,
Ce corps,
ce tout, bref cette plus qu’humaine
Douce
beauté
si cruellement belle,
Ce
port
humain,
cette grâce
gentille,
Ce vif
esprit,
et ce
doux
grave
style,
Ce haut
penser,
cet
honnête
silence,
Ce sont les
haims,
les appâts,
et l’amorce,
Les traits
les rets,
qui ma
débile
force
Ont captivé d’une
humble
violence.
En ligne le
14/10/07.
Dernière révision le 26/01/22.