Fumeterre. Branchue, larmeuse, tendre, cendrée.
Cette herbe a les feuilles blanches tirantes sur le cendré, et sortent en grand nombre de tous côtés, produisant ses fleurs incarnates : son jus enduit sur les yeux éclaircit la vue, et fait larmoyer, tout ainsi que la fumée, à raison de quoi on l’appelle Fumeterre.
Maurice de LA PORTE, Les
Épithètes, 1571,
f° 109r°v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_224_225]
(texte modernisé).
[Voir aussi plante.]
Fumeterre. Branchue, larmeuse, tendre, cendree.
Ceste herbe a les fueilles blanches tirantes sur le cendré, & sortent en grand nombre de tous costez, produisant ses fleurs incarnates: son ius enduit sur les ieux esclaircit la veue, & fait larmoier, tout ainsi que la fumee, a raison de quoi on l’appelle Fumeterre.
Maurice de LA PORTE, Les
Epithetes, 1571,
f° 109r°v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_224_225]
(texte original).
[Voir aussi plante.]
Liens
* On peut lire en ligne sur Gallica « De la Fumeterre », chapitre CXXVII des Commentaires très excellents de l’histoire des plantes de Leonarth Fuchs, traduits du latin et publiés vers 1548.
Liens valides au 20/03/19.