Ni les
beaux
lis
plantés au long d’un
clair
rivage,
Ni le
bel
arc-en-ciel,
bigarré
de couleurs,
Ni le
jeune
Printemps
vêtu de
jeunes
fleurs,
Ni de
beaux
Orangers
un coloré
paysage,
Ni voir dans les
forêts
mainte bête
sauvage,
Ni l’odorant
parfum
des plus
douces
odeurs,
Ni voir une Princesse élancer mille
ardeurs,
Au bal d’un geste
gai,
découpant maint
passage :
Ne sont rien que
laideur
devant votre beauté,
À quiconque de près à vous
s’est arrêté,
Son âme
repaissant d’un
œil
émerveillable.
Ô
l’exemple
certain
et l’unique
miroir
De l’éternel
semblant,
qu’en vous seul on peut voir !
Toute chose mortelle à vous n’est comparable.
Ni les
beaux
lis
plantés au long d’un
clair
rivage,
Ni le
bel
arc-en-ciel,
bigarré
de couleurs,
Ni le
jeune
Printemps
vêtu de
jeunes
fleurs,
Ni de
beaux
Orangers
un
coloré
paysage,
Ni voir dans les
forêts
mainte bête
sauvage,
Ni l’odorant
parfum
des plus
douces
odeurs,
Ni voir une Princesse élancer mille
ardeurs,
Au bal d’un geste
gai,
découpant maint
passage :
Ne sont rien que
laideur
devant votre beauté,
À quiconque de près à vous
s’est arrêté,
Son âme
repaissant d’un
œil
émerveillable.
Ô
l’exemple
certain
et l’unique
miroir
De l’éternel
semblant,
qu’en vous seul on peut voir !
Toute chose mortelle à vous n’est comparable.
En ligne le
10/05/14.
Dernière révision le 08/08/23.