anaphore
de « ô »
(vers 1-12)
Ô
doux
propos,
ô douceurs
attrayantes,
Ô
beaux
œillets
aux lis
entremêlés,
Ô cheveux
d’or
crêpes,
et
annelés,
Qui enrétez mon
âme
languissante.
Astres
jumeaux
dont la clarté
luisante
Fait vergogner les flambeaux
étoilés,
Ô
doux
attraits,
ô
beaux
doigts
emperlés,
Ô main
d’ivoire,
ô gorge
blanchissante,
Ô
ris
divin,
qui emblas mon
esprit,
Quand au premier Rosine me surprit
Et me traças jusqu’au
Ciel
une voie,
Ô
saint
Amour,
sainte
divinité,
Toujours je vois votre
grande
beauté,
Devant mes yeux
quelque part que je soie.
Ô
doux
propos,
ô douceurs
attrayantes,
Ô
beaux
œillets
aux lis
entremêlés,
Ô cheveux
d’or
crêpes,
et
annelés,
Qui enrétez mon
âme
languissante.
Astres
jumeaux
dont la clarté
luisante
Fait vergogner les flambeaux
étoilés,
Ô
doux
attraits,
ô
beaux
doigts
emperlés,
Ô main
d’ivoire,
ô gorge
blanchissante,
Ô
ris
divin,
qui emblas mon
esprit,
Quand au premier Rosine me surprit
Et me traças jusqu’au
Ciel
une voie,
Ô
saint
Amour,
sainte
divinité,
Toujours je vois votre
grande
beauté,
Devant mes yeux
quelque part que je soie.
En ligne le
21/10/10.
Dernière révision le 28/10/21.