««« œil­let »»»

« œillets » ou « œillet » dans :
Du Bellay
1550
~ Ces cheveux d’or, ce front…
Ron­sard
1552
~ Ce beau corail…
~ Avec les lis…
~ Ô doux par­ler…
~ Ni ce corail…
Magny
1553
~ Je trouve en vous…
~ Ni voir d’un paon…
1557
~ Ces beaux che­veux dorés…
Jean de La Taille
1573
~ Quel plaisir puis-je avoir…
Hes­teau
1578
~ Du Soleil radieux…
Cour­tin
1581
~ Ô doux pro­pos…
Jacques de Romieu
1584
~ Que servent ces œil­lets…
Le Gay­gnard
1585
~ Comme en un beau Par­terre…
Chan­dieu
1587
~ Le monde est un jar­din…
d’Avost
1587
~ L’Or de ces beaux che­veux…
Las­phrise
1597
~ Ce riche enten­de­ment…
Ver­meil
1600
~ Tout ainsi puissiez-vous…
Cer­ton
1604
~ [Elle au-dedans chan­tait…
Ner­vèze
1605
~ Je vous perds beaux che­veux…
Nostre­dame
1606
~ Pensons un peu…
1608
~ Comme un peintre excel­lent…
Bernier de La Brousse
1618
~ Comme on voit bien sou­vent…

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Œillet. Rouge, ver­meil, pour­pré ou pour­prin, bien-fleu­rant, ado­nin, rou­gis­sant, ver­meil­let, beau, fleu­ri ou fleu­ris­sant, aimé, doux, san­glant, gen­til.

C’est le nom d’une fleur excel­lem­ment belle, et d’une bonne odeur.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 181v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_369]
(texte modernisé).

[[Mon] œillet. Nos amou­reux tran­sis […] en leurs écrits, prin­ci­pa­le­ment vers celles dont ils espèrent obte­nir quel­que faveur, […] appellent [ain­si leur] amou­reuse ou amante.]

[Voir aussi ama­rante, amou­rettes, anis, fu­me­terre, gi­ro­flée, glaïeul, hy­sope, la­vande, lis, mar­gue­rite, pâ­que­rette, pa­vot, pen­sées, rose, sou­ci, thym, vio­lette…]


 

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Oeillet ou Oillet. Rouge, ver­meil, pour­pré ou pour­prin, bien-fleu­rant, ado­nin, rou­gis­sant, ver­meil­let, beau, fleu­ri ou fleu­ris­sant, aimé, doux, san­glant, gen­til.

C’est le nom d’vne fleur excel­lem­ment belle, & d’vne bonne odeur.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 181v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_369]
(texte original).

[[Mon] œillet. Noz amou­reus tran­sis […] en leurs escrits, prin­ci­pa­le­ment vers celles dont ils esperent obte­nir quel­que faueur, […] appelent [ain­si leur] amou­reuse ou amante.]

[Voir aussi ama­ranthe, amou­rettes, anis, fu­me­terre, gi­ro­flee, glaieul, hys­sope, la­uande, lis, mar­gue­rite, pas­que­rette, pa­uot, pen­sees, rose, soul­ci, thym, vio­lette…]








Liens

* On peut lire en ligne sur Gallica « De la seconde Betoesne », avec une gravure colo­rée des « Oeilletz », au cha­pitre CXXXIII des Commen­taires très excel­lents de l’his­toire des plantes de Leonarth Fuchs, traduits du latin et publiés vers 1548.

Liens valides au 05/04/19.