anaphore
de « et »
(vers 1-14)
Et de ses
yeux
le jour
prend sa lumière,
Et de ses
blonds
cheveux,
l’or
sa couleur,
Et le rubis
pour la bouche
a douleur,
Voyant qu’elle est en vermeil la première,
Et cette
main
tant
blanche
est coutumière
De départir au
blanc
lis
sa blancheur,
Et sous ses pieds
l’herbe
n’a point
sécheur,
Et d’elle ont pris les
Grâces
leur manière,
Et à ses
chants
les bien-disantes
sœurs
Applaudissant, sucèrent les
douceurs
Que tout amant
en ses discours embrasse :
Et d’elle encor
j’allumai ma
chaleur,
Et d’elle encor j’épuisai ma valeur,
Et d’elle encor j’attends un
don
de grâce.
Et de ses
yeux
le jour
prend sa lumière,
Et de ses
blonds
cheveux,
l’or
sa couleur,
Et le rubis
pour la bouche
a douleur,
Voyant qu’elle est en vermeil la première,
Et cette
main
tant
blanche
est coutumière
De départir au
blanc
lis
sa blancheur,
Et sous ses pieds
l’herbe
n’a point
sécheur,
Et d’elle ont pris les
Grâces
leur manière,
Et à ses
chants
les bien-disantes
sœurs
Applaudissant, sucèrent les
douceurs
Que tout amant
en ses discours embrasse :
Et d’elle encor
j’allumai ma
chaleur,
Et d’elle encor j’épuisai ma valeur,
Et d’elle encor j’attends un
don
de grâce.
En ligne le
02/09/18.
Dernière révision le 23/07//32.