Ni
l’or
qui va dorant sa
riche
tresse
blonde,
Ni son front
étoffé d’un
superbe
appareil,
Ni le brandon
fatal
de son
jumeau
Soleil,
Ni le musc
de sa bouche
en odeurs
si
féconde.
Ni sa
brave
accortesse à nulle autre seconde,
Ni ce teint
empourpré
de Cinabre
vermeil,
Ni ce souris
charmeur
du plus
ferré
sommeil,
Ni ce parler
comblé de grâce,
et de faconde.
Ni ce
lis
qui ses mains
a si bien coloré,
Ni ce
beau
sein
que j’ai tant de fois adoré,
Ni ce col
repoli de blancheur
Albâtrine.
Ni mille autres valeurs dont son
corps
est vêtu,
Non la
chaste
rigueur
de sa
chaste
poitrine,
Ne m’ont tant asservi : que sa seule
vertu.
Ni
l’or
qui va dorant sa
riche
tresse
blonde,
Ni son front
étoffé d’un
superbe
appareil,
Ni le brandon
fatal
de son
jumeau
Soleil,
Ni le musc
de sa bouche
en odeurs
si
féconde.
Ni sa
brave
accortesse à nulle autre seconde,
Ni ce teint
empourpré
de Cinabre
vermeil,
Ni ce souris
charmeur
du plus
ferré
sommeil,
Ni ce parler
comblé de grâce,
et de faconde.
Ni ce
lis
qui ses mains
a si bien coloré,
Ni ce
beau
sein
que j’ai tant de fois adoré,
Ni ce col
repoli de blancheur
Albâtrine.
Ni mille autres valeurs dont son
corps
est vêtu,
Non la
chaste
rigueur
de sa
chaste
poitrine,
Ne m’ont tant asservi :
que sa seule vertu.
En ligne le
09/10/12.
Dernière révision le 19/09/22.