anaphore du
démonstratif
(vers 5 à 9)
Le
crêpe
honneur
de cet or
blondissant
Sur cet argent
uni
de tous côtés,
Sur deux soleils
deux
petits
arcs
voûtés,
Deux
petits
brins de corail
rougissant,
Ce
clair
vermeil, ce vermeil unissant
Œillets
et lis
fraîchement enfantés,
Ces deux
beaux
rangs
de perles,
bien plantés,
Et tout ce rond
en deux parts finissant,
Ce
val
d’albâtre,
et ces coteaux
d’ivoire,
Qui vont ainsi comme les
flots
de Loire
Au lent
soupir
d’un Zéphyre
adouci,
C’est le moins beau des
beautés
de Madame,
Mieux engravée au
marbre
de mon âme,
Que sur mon front
n’en est peint le
souci.
Le
crêpe
honneur
de cet or
blondissant
Sur cet argent
uni
de tous côtés,
Sur deux soleils
deux
petits
arcs
voûtés,
Deux
petits
brins de corail
rougissant,
Ce
clair
vermeil, ce vermeil unissant
Œillets
et lis
fraîchement enfantés,
Ces deux
beaux
rangs
de perles,
bien plantés,
Et tout ce rond
en deux parts finissant,
Ce
val
d’albâtre,
et ces coteaux
d’ivoire,
Qui vont ainsi comme les
flots
de Loire
Au lent
soupir
d’un
Zéphyre
adouci,
C’est
le moins beau des
beautés
de Madame,
Mieux engravée au
marbre
de mon âme,
Que sur mon front
n’en est peint le
souci.
En ligne le
10/10/25.
Dernière révision le 10/10/25.