A tant de
fleurs
Flora
n’ouure la porte,
Le bon
Denys
n’a tant de
Raisins
meurs,
Tant de moissons
ne donne aux Laboureurs,
Cerez
la blonde
apres la Bize
morte,
Ny tant de
vents
l’Ægee
ne Comporte,
Ny l’arc
D’iris
ne varie en couleurs,
Qu’en moy ie sens de
douleurs
sur douleurs,
Ou que d’ennuis
& de maux
ie supporte,
Et touteffois vn
Rocher
qui au dos
Soustient l’effort
&
l’outrage
des flots,
N’est plus
constant
que ie suis d’ordinaire.
I’ay resolu mille
morts
endurer,
Ferme
à tous vents
plustost qu’en retirer,
Mon cœur
loyal
qui ne s’en peut distraire.
A tant de
fleurs
Flora
n’ouure la porte,
Le bon
Denys
n’a tant de
Raisins
meurs,
Tant de moissons
ne donne aux Laboureurs,
Cerez
la blonde
apres la Bize
morte,
Ny tant de
vents
l’Ægee
ne Comporte,
Ny l’arc
D’iris
ne varie en couleurs,
Qu’en moy ie sens de
douleurs
sur douleurs,
Ou que d’ennuis
& de maux
ie supporte,
Et touteffois vn
Rocher
qui au dos
Soustient l’effort
&
l’outrage
des flots,
N’est plus
constant
que ie suis d’ordinaire.
I’ay resolu mille
morts
endurer,
Ferme
à tous vents
plustost qu’en retirer,
Mon cœur
loyal
qui ne s’en peut distraire.
En ligne le
12/02/05.
Dernière révision le 01/01/22.