Le
Roy
du iour
tant de rayons
n’eslance,
Tant de flambeaux
dedans le Ciel
ne drilhent,
Ny tant de fleurs
les Auettes
ne pilhent,
Lors qu’au
Printemps
fleurent leur excellence,
Ny tant de grains
l’Esté
ne nous aduance
Ny dans le feux
d’extincelles
ne brilhent,
Que de Beautez
en Madame formilhent,
Et de Vertus
elle à en
abondance.
Ny tant
d’Oyseaux
ne sont hostez
de l’æir,
Ny de Poissons
ne frequentent la Mer,
Ny l’Ocean
ne porte tant de Voiles
Que de
beaux
dons
on la void heriter,
Et n’est en moy de les pouuoir conter,
Non plus qu’au
Ciel
calculer les Estoilles.
Le
Roy
du iour
tant de rayons
n’eslance,
Tant de flambeaux
dedans le Ciel
ne drilhent,
Ny tant de fleurs
les Auettes
ne pilhent,
Lors qu’au
Printemps
fleurent leur excellence,
Ny tant de grains
l’Esté
ne nous aduance
Ny dans le feux
d’extincelles
ne brilhent,
Que de Beautez
en Madame formilhent,
Et de Vertus
elle à en
abondance.
Ny tant
d’Oyseaux
ne sont hostez
de l’æir,
Ny de Poissons
ne frequentent la Mer,
Ny l’Ocean
ne porte tant de Voiles
Que de
beaux
dons
on la void heriter,
Et n’est en moy de les pouuoir conter,
Non plus qu’au
Ciel
calculer les Estoilles.
En ligne le
18/11/07.
Dernière révision le 13/11/21.