Tu as ce
crin
à Phebus
derobbé,
Et ce
beau
teint
aux ioües
de l’Aurore,
Et à Venus
ta belle
bouche
encore,
Et à son fils
cet archelet
courbé.
Ton
oeil
diuin
des astres
est tumbé,
Là ou Diane
& se mire, & s’honore,
Mais du
fier
Dieu
que l’ápre
Thrace
adore
Tu as raui son cueur
dur,
&
plombé.
Bref tu emblas de
Iunon
la presence,
Et de Pallas
le sauoir, &
prudence,
Vuidant des Dieux les
Thesors
à
grands
sommes :
Puis déuallas droit en ce
monde
bas,
Pour i piller la ioie,
& les ébats,
L’esprit,
le cueur,
& le repos
des hommes.
Tu as ce
crin
à Phebus
derobbé,
Et ce
beau
teint
aux ioües
de l’Aurore,
Et à Venus
ta belle
bouche
encore,
Et à son fils
cet archelet
courbé.
Ton
oeil
diuin
des astres
est tumbé,
Là ou Diane
& se mire, & s’honore,
Mais du
fier
Dieu
que l’ápre
Thrace
adore
Tu as raui son cueur
dur,
&
plombé.
Bref tu emblas de
Iunon
la presence,
Et de Pallas
le sauoir, &
prudence,
Vuidant des Dieux les
Thesors
à
grands
sommes :
Puis déuallas droit en ce
monde
bas,
Pour i piller la ioie,
& les ébats,
L’esprit,
le cueur,
& le repos
des hommes.
En ligne le
22/07/16.
Dernière révision le 25/09/22.