D’vne
Iunon
la grauité
modeste,
D’vne Pallas
la science
diuine,
D’vne Venus
la legiadrie
insine,
Pour l’ardent
Mars
trop
superbe
conqueste:
De
Tindaris
le tant
louable
geste,
Le teint
vermeil,
la cheueleure
orine,
Qui la blancheur
de l’Aurore
voisine,
Quand pour vous luire elle mesme s’apreste:
La
chasteté
d’vne Veste
sacrée
Et l’equité d’vne
celeste
Astrée
Lampege en vous, honorande
Cypris.
O bien heureus qui
vôtre amant
sera,
O plus heureus qui vous epousera,
Et receura
d’amitié
le haut
pris!
D’vne
Iunon
la grauité
modeste,
D’vne Pallas
la science
diuine,
D’vne Venus
la legiadrie
insine,
Pour l’ardent
Mars
trop
superbe
conqueste:
De
Tindaris
le tant
louable
geste,
Le teint
vermeil,
la cheueleure
orine,
Qui la blancheur
de l’Aurore
voisine,
Quand pour vous luire elle mesme s’apreste:
La
chasteté
d’vne Veste
sacrée
Et l’equité d’vne
celeste
Astrée
Lampege en vous, honorande
Cypris.
O bien heureus qui
vôtre amant
sera,
O plus heureus qui vous epousera,
Et receura
d’amitié
le haut
pris!
En ligne le
25/06/11.
Dernière révision le 08/08/22.