Toujours
de
Jupiter
le foudroyant
tonnerre,
N’écorne étincelant
les Rocs
fermeplantés :
Toujours des monts brûlants
les gosiers
éventés,
N’emplissent
l’air
de flamme
et de cendre
la Terre :
Toujours
l’Austre
mutin
les
grands
sapins
n’atterre,
Toujours des
flots
hideux
les Cieux
ne sont hantés,
Et toujours des mortels les
cœurs
épouvantés,
Ne frémissent au
choc
qu’un
orage
desserre :
Toujours
l’alme
Soleil
loin de nos yeux
ne luit,
Toujours nous ne voyons les
horreurs
de la
nuit,
Et toujours les
enfers
ne s’aggravent
d’encombres :
Tout
change quelquefois dessous le firmament,
Le calme suit l’orage
et la clarté
les
ombres,
Mais mon malheureux
sort
dure éternellement.
Toujours
de
Jupiter
le foudroyant
tonnerre,
N’écorne
étincelant
les Rocs
fermeplantés :
Toujours des monts brûlants
les gosiers
éventés,
N’emplissent
l’air
de flamme
et de cendre
la Terre :
Toujours
l’Austre
mutin
les
grands
sapins
n’atterre,
Toujours des
flots
hideux
les Cieux
ne sont hantés,
Et toujours des mortels les
cœurs
épouvantés,
Ne frémissent au
choc
qu’un
orage
desserre :
Toujours
l’alme
Soleil
loin de nos yeux
ne luit,
Toujours nous ne voyons les
horreurs
de la
nuit,
Et toujours les
enfers
ne s’aggravent
d’encombres :
Tout
change quelquefois dessous le firmament,
Le calme suit l’orage
et la clarté
les
ombres,
Mais mon malheureux
sort
dure éternellement.
En ligne le 19/09/24.
Dernière révision le 19/09/24.