««« lè­vres »»»

« lèvres » ou « lèvre » dans :
Du Bellay
1549
~ Le fort som­meil…
1550
~ Rendez à l’or…
1552
~ Ce ne sont pas…
Ron­sard
1552
~ Il faisait chaud…
1584
~ Ô doux par­ler…
Des Autels
1553
~ Si tu veux le compte sa­voir…
Tahu­reau
1554 [1574]
~ En quel fleuve aré­neux…
[1870]
~ Cet œil friand…
Le Caron
1554
~ Ce front lui­sant…
Grévin
1561
~ Ces beaux che­veux crê­pés…
La Jessée
1583
~ Heureux qui voit…
~ Ma Nymphe a les yeux verts…
Louven­court
1595
~ Baisers doux, et mi­gnards…
Guy de Tours
1598
~ Ô doux regards…
Ber­thrand
1599
~ Bien que sur terre…
Ver­meil
1600
~ Puisque tu veux domp­ter…
Claude Gar­nier
1609
~ Ce front d’albâtre…
Bernier de La Brousse
1618
~ Ô beau rets d’or…

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Lèvres ou Bolièvres. Jumelles, avant-portières du bai­ser, pour­prines, mol­lettes, hu­mides, bes­sonnes, ver­meilles, em­miel­lées, tendres, co­ral­lines, rouges, mouil­lées, trem­blantes ou trem­blo­tantes, mi­gnardes, nec­ta­rées ou nec­ta­rines, ver­meil­lettes, béantes, pour­prées, douces, ro­sines, aimables, riantes, joyeuses, blan­dis­santes, amou­reuses. Le dimi­nu­tif Lé­vrettes et Lè­vre­lettes.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 147v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_301]
(texte modernisé).

[Voir aussi bouche et corps humain.]


 

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Leures ou Bolieures. Iumelles, auant-portieres du bai­ser, pour­prines, mol­lettes, hu­mides, bes­sonnes, ver­meilles, em­miel­lees, tendres, co­ra­lines, rouges, moüil­lees, trem­blantes ou trem­blo­tantes, mi­gnardes, nec­ta­rees ou nec­ta­rines, ver­meil­lettes, beantes, pour­prees, douces, ro­sines, aimables, riantes, ioieuses, blan­dis­santes, amou­reuses. Le dim. Le­urettes & Le­ure­letes.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 147v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_301]
(texte original).

[Voir aussi bouche et corps humain.]