Maugré le
sort
de fortune
l’aduerse,
La Mer,
le Feu,
le Ciel,
la Terre
encore,
Deuotement i’adoreray
l’aurore,
Qui de mes nuits
tous les brouillas
renuerse.
Malgré le
tems
qui mes ans
sape & verse,
Enamouré de ma
riche
Pandore,
Nôtre MACON
laquelle emperle & dore,
Ie louëray l’accointable commerce.
Plutost sera sans lueur
l’ample
Spere,
Le Ciel
sans rond,
Ciel
des dieus le repere,
Et de
mon
tout
principal
heritage:
Plutost sera sans
sable
nôtre Sône,
Sans cours,
poissons
& sans pierres
le Rône,
Que l’amitié
d’entre nous se partage.
Maugré le
sort
de
fortune
l’aduerse,
La Mer,
le Feu,
le Ciel,
la Terre
encore,
Deuotement i’adoreray
l’aurore,
Qui de mes nuits
tous les brouillas
renuerse.
Malgré le
tems
qui mes ans
sape & verse,
Enamouré de ma
riche
Pandore,
Nôtre MACON
laquelle emperle & dore,
Ie louëray l’accointable commerce.
Plutost sera sans lueur
l’ample
Spere,
Le Ciel
sans rond,
Ciel
des dieus le repere,
Et de
mon
tout
principal
heritage:
Plutost sera sans
sable
nôtre Sône,
Sans cours,
poissons
& sans pierres
le Rône,
Que l’amitié
d’entre nous se partage.
En ligne le
01/10/11.
Dernière révision le 23/07/21.