Malgré le
sort
de
fortune
l’adverse,
La Mer,
le Feu,
le Ciel,
la Terre
encore,
Dévotement j’adorerai
l’aurore,
Qui de mes nuits
tous les brouillas
renverse.
Malgré le
temps
qui mes ans
sape et verse,
Énamouré de ma
riche
Pandore,
Notre MÂCON
laquelle emperle et dore,
Je louerai l’accointable commerce.
Plutôt
sera sans lueur
l’ample Sphère,
Le
Ciel
sans rond,
Ciel
des dieux le repaire,
Et de
mon
tout
principal
héritage :
Plutôt
sera sans sable notre Saône,
Sans cours, poissons et sans pierres
le Rhône,
Que l’amitié
d’entre nous se partage.
Malgré le
sort
de fortune
l’adverse,
La Mer,
le Feu,
le Ciel,
la Terre
encore,
Dévotement j’adorerai
l’aurore,
Qui de mes nuits
tous les brouillas
renverse.
Malgré le
temps
qui mes ans
sape et verse,
Énamouré de ma
riche
Pandore,
Notre MÂCON
laquelle emperle et dore,
Je louerai l’accointable commerce.
Plutôt
sera sans lueur
l’ample Sphère,
Le
Ciel
sans rond,
Ciel
des dieux le repaire,
Et de
mon
tout
principal
héritage :
Plutôt
sera sans sable notre Saône,
Sans cours, poissons et sans pierres
le Rhône,
Que l’amitié
d’entre nous se partage.
En ligne le 23/07/21.
Dernière révision le 03/08/22.