RIen
sinon que des
vœux,
rien sinon que des
flammes,
Ne pousse mon
esprit
aux pieds
de ta
grandeur ;
Mon luth
que cent procès
ont
captif
dans leurs trames
Pour un si
haut
sujet est trop manque
d’ardeur.
J’aurais plutôt
nombré
les voiles,
et les rames,
Qui du règne
liquide
éprouvent la
roideur ;
De l’Aube,
et de Pluton,
les couleurs,
et les âmes,
Que chanter dignement ta vie,
et ta candeur.
Laissons ce
beau
souci
aux âmes
que la gloire
Grave de son burin
dans le cœur
de Mémoire,
Pour avoir fréquenté le
mont
double-sourcil.
Il te faut un
Homère,
ô mon second Ulysse,
Et rien ne serviront mes
lâches
vers
ici,
Que d’assurés
témoins
de mon
humble
service.
RIen
sinon que des
vœux,
rien sinon que des
flammes,
Ne pousse mon
esprit
aux pieds
de ta
grandeur ;
Mon luth
que cent procès
ont
captif
dans leurs trames
Pour un si
haut
sujet est trop manque
d’ardeur.
J’aurais
plutôt nombré
les voiles,
et les rames,
Qui du règne
liquide
éprouvent la
roideur ;
De l’Aube,
et de Pluton,
les couleurs,
et les âmes,
Que chanter dignement ta vie,
et ta candeur.
Laissons ce
beau
souci
aux âmes
que la gloire
Grave de son burin
dans le cœur
de Mémoire,
Pour avoir fréquenté le
mont
double-sourcil.
Il te faut un
Homère,
ô mon second Ulysse,
Et rien ne serviront mes
lâches
vers
ici,
Que d’assurés
témoins
de mon
humble
service.
En ligne le
02/01/21.
Dernière révision le 24/08/24.