««« au­be »»»

« Aube » ou « aube » dans :
Phi­lieul
1548 [1555]
~ Tous ani­maux… (Canz., 22)
Du Bellay
1549
~ [Qui a vu les Lis, et les Roses…
1550
~ Déjà la nuit…
Ron­sard
1552
~ Quand au pre­mier…
~ Comme un che­vreuil…
Tahu­reau
1554 [1574]
~ Main, douce main…
Le Caron
1554
~ Où prit Jupin…
La Jessée
1578
~ Grasinde, qui me fais…
Cour­tin
1581
~ Il était jour…
Louven­court
1595
~ Somme, jus­qu’au­jour­d’hui…
Expil­ly
1596
~ Tu t’en allais déjà…
Malde­ghem
1606
~ Tout ani­mal… (Canz., 22)
Ber­nier de La Brousse
1618
~ Rien sinon que des vœux…

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Aube. Avant-coureuse, rou­gis­sante, sa­fra­née. vois aurore.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 27r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_60]
(texte modernisé).

[Aubines. Joues.]

[Voir aussi aubade.]


 

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Aube. Auant cou­reuse, rou­gis­sante, saf­fra­nee. voi avrore.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 27r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_60]
(texte original).

[Aubines. Ioues.]

[Voir aussi aubade.]