Le
tonnerre
pressé d’un
brusque
tremblement,
N’élance pas toujours sa
roideur
enflammée,
Le navire
sautant sur la mer
agitée
N’est toujours engouffré par le
flot
ondoyant :
Les Autans forcenés
d’un rude
ébranlement,
N’entremêlent toujours leur
force
courroucée,
L’hivernale
blancheur
de la neige
glacée,
Sur les pins
élevés
ne va toujours roulant.
Ainsi je ne crois point que
l’aigreur
soucieuse,
Qui sème dans mon
cœur
une humeur
douloureuse,
Persévère toujours à gêner
mes esprits.
Un
temps
viendra bientôt qui vide de
misère,
Serénant les
efforts
de ma tristesse
amère,
Apaisera l’horreur
du mal
qui m’a surpris.
Le
tonnerre
pressé d’un
brusque
tremblement,
N’élance pas toujours sa
roideur
enflammée,
Le navire
sautant sur la mer
agitée
N’est toujours engouffré par le
flot
ondoyant :
Les Autans forcenés
d’un
rude
ébranlement,
N’entremêlent toujours leur
force
courroucée,
L’hivernale
blancheur
de la neige
glacée,
Sur les pins
élevés
ne va toujours roulant.
Ainsi je ne crois point que
l’aigreur
soucieuse,
Qui sème dans mon
cœur
une humeur
douloureuse,
Persévère toujours à gêner
mes esprits.
Un
temps
viendra bientôt qui vide de
misère,
Serénant les
efforts
de ma tristesse
amère,
Apaisera l’horreur
du mal
qui m’a surpris.
En ligne le
17/06/08.
Dernière révision le 12/03/24.